La Compagnie Des Amandes (CDA), est un nouveau modèle de collaboration entre investisseurs et agriculteurs qui a pour objectif de structurer et développer une filière française compétitive de production d’amandes. L’amande, produit-vedette, dont la consommation mondiale est en hausse de 700% depuis les années 2000, a conquis les consommateurs à la recherche de produits sains et naturels. Sinistrée, il y a déjà plusieurs décennies, la culture de l’amandier, délaissée, présente aujourd’hui un enjeu stratégique de relance dans le Midi et en Corse. Pour la CDA, il s’agit de relocaliser en France la production agricole, replanter cet arbre originaire de Méditerranée, renouer avec des savoir-faire ancestraux et redécouvrir des variétés d’amandes françaises tant prisées des confiseurs dont la qualité est reconnue comme supérieure. Créée en 2018 par Arnaud Montebourg et François Moulias, la CDA propose aux agriculteurs un partenariat innovant combinant un financement complet, une aide technique et la commercialisation de la production. En partenariat avec l’INRAE, le groupe DACO France et des investisseurs privés, la Compagnie a l’ambition de co-développer 2000 ha de vergers d’amandiers sur le pourtour Méditerranéen avec des arboriculteurs locaux, plantés d’ici à fin 2024 avec une exploitation d'au moins 20 ans. Avec un rendement optimal prévisionnel de 2500 tonnes d’amandons par an (amandes sans coque), le volume produit permettra à la CDA et ses agriculteurs de s’imposer comme les acteurs privilégiés des clients à la recherche du local et de la qualité. Ces vergers seront conduits avec un modèle agro-écologique, économe en eau, sans herbicide, avec préservation des zones de biodiversité. Faire converger les intérêts de l'investisseur et de l’agriculteur, créer une alliance équilibrée entre le capital et le travail, unir et déployer les ressources humaines, techniques, scientifiques et financières, pour réinvestir l’amande « Made in France » avec des variétés locales et des circuits courts, tel est le projet de la Compagnie des Amandes. La plantation de vergers vient également d’être déclarée éligible au « Label bas carbone » par le ministère de la transition écologique, permettant de justifier de séquestration de CO2 et de valoriser des unités carbone à partir des vergers.
Cet investissement en obligations vient financer les trois premières exploitations : AMANDES DE LA RENJARDIERE et AMANDES DES ESTANGS dans le Vaucluse, AMANDES DU SOMAIL dans l’Aude.
2 co-fondateurs, 4 employé.e.s
À l’origine du projet une association complémentaire, Arnaud Montebourg et François Moulias. Avocat de profession, ancien élu de Saône et Loire et Ministre de l’économie, Arnaud Montebourg défend des positions économiques qui soutiennent la robustesse du « Made in France ». En 2018, il se lance dans l’entrepreneuriat pour développer des projets à fort potentiel d’impact positif pour l’agriculture et la distribution. Il est également à l'origine de la SERAF (Société d’élevage et de repeuplement des abeilles en France) et la Compagnie Laitières des Glaces paysannes. François Moulias est un entrepreneur qui a connu une première expérience de la terre sur des propriétés viticoles en Languedoc. Ancien PDG dans la promotion immobilière, du journal Libération et de la marque SIA, il est l’un des membres fondateurs de l’association interprofessionnelle France Amande. Eugénie Coutagne, ancienne élève de l’Institut National Agronomique Paris Grignon, connaît très bien l’agriculture Méditerranéenne, forte d'une expérience de plus de 10 ans à la Société du Canal de Provence. Elle coordonne les études de faisabilité agronomique de chaque projet et mettra en œuvre l’ensemble des moyens nécessaires pour assister les agriculteurs partenaires dans les plantations et le suivi des vergers. L'équipe se complète également de Rémi Thomasset, technicien de verger qui assiste et forme les producteurs, Anjélia Leconte, doctorante travaillant en collaboration avec l’INRAE et le CNRS pour identifier un moyen de bio-contrôle de la guêpe de l’amandier, et Henri Duval, chercheur à l’INRAE est conseiller scientifique de l’entreprise.
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